Le bon job s?il est dyspraxique |
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26-08-2013 |
Plombier, informaticien, jardinier, soigneur animalier, comédien, vendeur en grande surface?: cherchez l?erreur. Il n?y en a pas, parce que s?il existe des métiers potentiellement plus difficiles à exercer pour un jeune dyspraxique, rien n?est impossible. ? condition d?avoir une idée bien précise des tâches qu?il aura à réaliser.
S?orienter vers le commerce par goût du contact et de la vente, pourquoi pas. Mais devenir, par exemple, responsable d?un grand magasin peut aussi signifier des tâches beaucoup plus complexes pour un jeune dyspraxique, comme la gestion de plannings ou d?inventaires.
Pour l?aider
- Emmenez-le sur un salon de l?étudiant, dans des salons professionnels, consultez les sites internet des Chambres des métiers et de l?artisanat, des Chambres de commerce et d?industrie, des Chambres de l?agriculture. Les conseillers des Centres d?information et d?orientation (CIO), dont certains sont formés au handicap, pourront aussi vous aider, tout comme les centres de pré-orientation. Pour en bénéficier, votre enfant doit avoir auparavant obtenu la Reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH) auprès de la MDPH.
- Consultez avec lui les fiches de présentation des métiers par secteurs, ainsi que les vidéos sur les sites Internet de l?Onisep ou encore L?étudiant. Ces documents, très bien faits, permettent de se faire une première idée d?un métier et de rompre avec les idées reçues.
Pour lire cet article en intégralité, rendez-vous dans le Déclic n°155 (septembre-octobre 2013)
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